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Première loge opéra

« Partout, lorsqu’il intervient, l’accordéon de Vincent Lhermet nous étonne par sa musicalité , son sens de l’à-propos et sa façon tellement délicate de se fondre, jusqu’au souffle le plus ineffable, dans les sonorités des instrumentistes baroques » (Le Poème harmonique)

Diapason

« Vincent Lhermet est admirable de finesse, tant dans le contrôle de la dynamique que dans la virtuosité digitale dont ne l’a pas privé le compositeur et qui communique aux fragments de gammes ou aux motifs giratoires la grâce de l’évidence. » (Concerto de Gérard Pesson)

ResMusica

« Pesson sait nous surprendre et nous émerveiller tout comme le jeu caressant et délicat, emprunt de douceur et de poésie de Vincent Lhermet à qui l’œuvre est adressée. » (Concerto de Gérard Pesson)

Crescendo-magazine

« Vincent Lhermet est fascinant, il est à la fois un fin virtuose accompli et un fin musicien. Avec François-Xavier Roth à la tête de l’orchestre, ils captivent le public enthousiaste. » (Concerto de Gérard Pesson)

ResMusica

« …le doigté sensible de Vincent Lhermet et la féérie de son registre lumineux. Incantation livresque et poétique du sonore se croisent et interfèrent de manière étonnante, au sein d’un espace ritualisant où Vincent Lhermet semble endosser le rôle du Shaman. » (Cantares Mexicanos)

La Croix

« L’accordéon n’a guère de pareils pour faire danser les cœurs et les corps. Dans la très volubile Myself gigue de John Bull (1532-1628), Vincent Lhermet en a fait la virevoltante démonstration ! » (Les inAttendus)

ConcertoNet

« Le second mouvement fonctionne à merveille en vertu du liant savoureux qu’opère entre les pupitres l’accordéon de Vincent Lhermet ». (Concerto pour violon de Bernard Cavanna).